SCARLATTI GOES ELECTRO # 3
15.00 €
3ème album du duo synth-baroque SCARLATTI GOES ELECTRO
(Michel Bananes Jr & Antoine Souchav')
Vinyl 33 tours, 11 pistes
Produit par OUT ONE DISC, co-produit par BAM
"J’ai été complètement abasourdi en les entendant ! Leurs arrangements sont fantastiques ! Ils sont remarquablement doués, et je leur prédis une réussite incontestable dans ce putain de métier ; ils ont enfin trouvé un bon «truc» pour renouveler l’expression déclinante et obsolète de la musique électronique actuelle!
Et cela avec des sonorités très nouvelles, grâce tout d’abord à une imagination débordante et avec l’audace et l’humour de la jeunesse actuelle, une attitude qui leur permet de se distinguer des anciens ...
Bravo à vous !!!"
JEAN-JACQUES PERREY
Stock restant : 50
L'album est produit en étroite collaboration avec Yuichi Kishino et le son a été mixé par Yoshida Tetsuto à Tokyo. Les musiciens Noritaka Ubukata, Thiaz Itch, Internet2 et le batteur Johann Mazé ont également participé à la réalisation de l'album, ainsi que Gangpol & Mit et Kimataka Matsumae qui ont contribué à deux remixes.
Nos arrangements restent fidèles à la note concernant les sonates originales, ne prenant que quelques libertés structurelles. Néanmoins, nous nous sommes vraiment appliqués à faire exploser les compositions dans leur verticalité, en créant des dialogues entre des dizaines ou des centaines de types de sons différents. C’était là, à mon sens, l’idée originale de Scarlatti, recueillant inlassablement la musique qu’il entendait quotidiennement dans sa vie comme professeur de clavecin à la Cour espagnole: chants pastoraux, mélodies profanes et musique dansante. Tout cela se déroule dans un immense collage bigarré et aux yeux écarquillés. Une œuvre véritablement titanesque réunie sur des milliers de pages de musique, à savoir 555 sonates, soit l'équivalent de 34 disques compacts.
Le mélange sur lequel Yoshida Tetsuto a travaillé vise à perfectionner cette approche: couches sonores, sauts de champs, tout ce qui était suggéré dans les versions originales pour clavecin est rendu tangible. C'est du moins notre interprétation. Ce qui est l'un des nombreux "exercices" possibles, comme Scarlatti aimait les appeler.
This album is produced in tight collaboration with Yuichi Kishino and the sound was mixed by Yoshida Tetsuto in Tokyo. The musicians Noritaka Ubukata, Thiaz Itch, Internet2 and the drummer Johann Mazé also participated in the making of the album, as well Gangpol & Mit and Kimataka Matsumae who contributed with two remixes.
Our arrangements remain loyal to the note regarding the original Sonatas, taking on only a few structural liberties. Nevertheless, we truly applied ourselves in exploding the compositions in their verticality, creating dialogues between tens or hundreds of different kinds of sounds. This was, in my mind, the original idea of Scarlatti, tirelessly collecting the music which he heard daily in his life as a harpsichord teacher in the Spanish Court : Pastoral chants, profane melodies and dancing music. All of this comes together in an immense, motley and wide-eyed collage. A genuinely titanic work assembled on thousands of pages of music, to wit 555 sonatas, the equivalent of 34 compact discs.
The mix on which Yoshida Tetsuto worked aims to perfect this approach : sound layers, field breaks, everything that was once suggested in the original versions for harpsichord are rendered tangible. This at least is our interpretation. Which is one amongst many possible "exercises" as Scarlatti liked to call them.